Sur la violence gratuite en France
Maurice Berger travaille dans un centre éducatif renforcé (CER) de la région Rhône-Alpes où 88% des enfants et des adolescents admis sont maghrébins.
Vous avez tous vu passer les interventions de Maurice Berger sur les réseaux sociaux ces derniers jours. Pédopsychiatre, il travaille dans un centre éducatif renforcé (CER) de la région Rhône-Alpes où 88% des enfants et des adolescents admis sont maghrébins. Le docteur donne plusieurs causes à la violence maghrébine :
Exposition répétée à des scènes de violence conjugale. Cela concerne jusqu’à 69% des enfants qu’il traite.
Négligence et maltraitance, généralement vécues par les parents et reproduites sur leurs enfants.
Famille clanique.
Fonctionnement tribal des « quartiers ».
Éducation sans interdits cohérents.
Tempérament impulsif hérité.
Ravages de la consanguinité.
Justice qui refuse de mettre une butée matérialisée (prison ferme) aux actes violents, et qui crée de fait un « permis de tabasser ».
Maurice Berger note une augmentation critique de la violence gratuite en France – une toutes les quarante-quatre secondes – et l’inaction désespérante des hommes politiques, qu’il a pourtant rencontrés à maintes reprises. Il rejette en bloc toutes les explications de gauche, comme la pauvreté, l’exclusion, le racisme, la ghettoïsation, laquelle est une conséquence et non une cause de cette hyperviolence. Il note par ailleurs que de nombreux enfants qu’il reçoit viennent de familles sans aucune difficulté financière. Il admet sans honte le lien entre violence gratuite et immigration. L’on sent chez le médecin une sacrée fatigue du politiquement correct, et aussi beaucoup de désespoir – il sait qu’il prêche dans le vide.
Le développement des aspects physiologiques et cognitifs du Maghrébin violent est très intéressant. Taux de cortisol constamment haut, dérèglements dopaminergiques, néocortex déconnecté du cerveau limbique… le docteur Berger est face à des psychopathes en puissance, incapables d’empathie, incapables de déceler des émotions sur un visage, incapables de la moindre pensée abstraite. Certains se mettent à frapper à la moindre frustration ou quand ils doivent suivre un enseignement théorique. Ils ont aussi de graves problèmes psychomoteurs ; ils ne savent pas qu’ils ont un corps, ils sont incapable de localiser leurs tempes ou leurs sourcils. À 16 ans, certains sont incapables de réussir un puzzle anatomique destiné aux enfants de 11 ans. Sur un test de QI, on peut les retrouver autour de 55 – un trisomique peut être plus intelligent que cela.
L’ouvrage est très rapide à lire, accessible et percutant. Son principal défaut est qu’il ne s’autorise pas une psychologie différentielle totale. Fonctionnement clanique, culture patriarcale, maltraitances, négligences et mariages consanguins ne sont pas toute l’histoire : il y a bien des différences génétiques entre les populations quant à la psychopathie, issues d’une longue histoire évolutionnaire qui a poussé les peuples du monde à adopter des stratégies d’histoire de vie différentes.
Maurice Berger termine le livre avec une anecdote personnelle : des petits Nord-Africains lui lancent des pierres grosses comme un poing fermé alors qu’il fait son footing quotidien. Comme beaucoup, il ne portera pas plainte. Ces actes ne feront pas partie des statistiques officielles. Et il va devoir déménager.
Ceux qui ont le cœur accroché peuvent aller voir cette vidéo qui illustre les propos du docteur Berger.